Application Air Canada, rationalisation des contrôles de sûreté et du traitement des bagages: de telles innovations font qu’aller du point A au point B sans rater sa correspondance est plus simple que jamais.
À Air Canada, la Saint-Valentin est un jour spécial, car nous aimons jouer les cupidons en aidant nos clients à attraper leurs correspondances. Comme c’est aussi complexe que les affaires de cœur, nous améliorons constamment nos processus.
Les passagers dont l’itinéraire comprend au moins deux vols comptent pour environ le tiers de notre clientèle. Une correspondance aisée facilite les voyages et séduit les clients de l’étranger, qui rem- plissent des vols que le trafic point à point ne saurait remplir à lui seul, ce qui nous permet d’accroître les fréquences et les destinations.
Il est donc essentiel de simplifier les correspondances, ce qui implique de rationaliser les étapes et d’exploiter la technologie, comme avec l’application Air Canada, qui fournit d’utiles renseignements, sur les temps d’escale notamment. À notre plaque tournante mondiale de Toronto, nous offrons le service de correspondance Star Alliance aux clients du réseau Star Alliance. Nous collaborons aussi avec les aéroports et les autorités gouvernementales pour améliorer signalisation, traitement des bagages et sûreté.
Les clients des vols internationaux transitant par le Canada comptent grandement. Ce trafic soutient notre réseau mondial et augmente sans cesse, surtout en rai- son de la commodité des correspondances. Actuelle- ment, les clients passant par Toronto ou Vancouver n’ont pas à récupérer leurs bagages et présentent leur passeport à une borne plutôt qu’à un douanier. Cet énorme avantage, bientôt offert à Montréal, réduit le temps de correspondance d’environ 25 minutes.
Nos efforts de coopération s’étendent aussi aux arrivées internationales avec correspondance intérieure. Notre but ? Que les passagers n’aient plus à récupérer leurs bagages pour une inspection douanière au premier point d’atterrissage canadien et à les réenregistrer pour leur destination finale canadienne. Déjà, les clients arrivant des États-Unis, du Royaume- Uni, des pays de l’UE et d’Australie en correspondance pour Vancouver, Calgary, Toronto et Montréal gagnent doublement du temps, évitant la récupération des bagages et le contrôle de sûreté.
Nous voulons devenir le premier transporteur canadien dont aucun passager en correspondance n’a à récupérer ses bagages. L’objectif est déjà atteint aux deux tiers. Cet atout fantastique pour les clients favorisera notre croissance et attirera les visiteurs au Canada. On ne peut qu’aimer !
Le billet de Calin est publié chaque mois dans enRoute, le magazine primé d’Air Canada que l’on trouve à bord de tous les vols d'Air Canada, d'Air Canada Rouge et d'Air Canada Express. Cette version est tirée du numéro de février 2019.