Maintenance Air Canada accueille des étudiantes à l’occasion de la Journée des jeunes femmes de l’air
nov 1, 2018

En novembre, un groupe de jeunes femmes envisageant diverses possibilités de carrière ont visité les hangars de Maintenance Air Canada, à Montréal. Elles ont pu non seulement rencontrer des femmes qui occupent des postes traditionnellement peu féminisés à Air Canada, mais également s’émerveiller devant l’un de nos appareils – et ses pneus géants.

L’initiative donne l’occasion à des jeunes femmes envisageant de faire carrière en aviation de découvrir les parcours professionnels qui s’offrent à elles en STIM (science, technologie, ingénierie et mathématiques) à Air Canada, où elles travailleront avec certains des appareils de ligne les plus perfectionnés actuellement en usage, dans les domaines de la maintenance avions, de l’ingénierie, de la rédaction technique et du contrôle de l’exploitation réseau.

« À Air Canada, nous sommes déterminés à faire en sorte que les femmes participent pleinement et d’une façon effective, et aient les mêmes possibilités d’accéder à des postes de responsabilité à tous les niveaux décisionnels de l’entreprise », a affirmé Arielle Meloul-Wechsler, première vice-présidente – Employés, Culture et Communications d’Air Canada .

« C’est une journée merveilleuse, à laquelle participent de nombreuses femmes fortes et brillantes de la direction Maintenance Air Canada et d’autres secteurs de l’entreprise, a ajouté Capucine Michaud, chef de service générale – Normes et Service cabine d’Air Canada. Nous essayons d’en faire une expérience amusante et attrayante pour les jeunes femmes, et nous croyons que nos talentueux employés parviennent efficacement à démontrer que le secteur du transport aérien représente une option de carrière stimulante et enrichissante. »

Les étudiantes — les plus jeunes avaient 15 ans et les plus âgées étaient inscrites à l’université — ont passé la journée au siège social d’Air Canada à Montréal, plus précisément au hangar 3 de Maintenance Air Canada, où elles ont été à même de constater en quoi consiste un travail dans le domaine de l’aviation, notamment en découvrant les plus récents avions d’Air Canada, les 737 MAX 8 de Boeing.

Laurie Breton, qui étudie en maintenance avions à l’École nationale d’aérotechnique (un collège technique), a confié que la visite de l’appareil a été sa partie préférée de la journée.

« Je suis une touche-à-tout. Étant de nature curieuse, j’ai particulièrement apprécié de voir de près comment cela se passe », a expliqué Laurie.

Comme elle en est à sa troisième année à l’École, Laurie commence à explorer les options de carrière qui s’offriront à elle après l’obtention de son diplôme.

« Je regarde toutes les entreprises où je pourrais trouver un emploi dans le domaine de la maintenance avions, a poursuivi Laurie, en ajoutant qu’Air Canada se trouve au haut de la liste. J’adorerais travailler pour ce transporteur. Cette journée me permet donc d’avoir un aperçu des débouchés dans le domaine. Les mécaniciens semblent très bien organisés. C’est mon domaine d’études, et c’est là où je souhaite travailler. Ce que j’ai vu de la Société m’intéresse également. Tout semble très bien structuré, et ce sont de bons avions, de plus en plus modernes, avec lesquels il serait agréable de travailler. »

Sandrine Renaud étudie elle aussi en maintenance avions à l’École nationale d’aérotechnique.

« Je tenais à venir découvrir les perspectives de carrière et à voir à quoi ressemble Air Canada. Nous avons visité le musée ainsi que les hangars et les ateliers pour les différents types de tâches. »

Sandrine a été surtout impressionnée par les hangars parce qu’elle a pu voir à quoi ressemblerait son travail si elle s’occupait des appareils pour Maintenance Air Canada.

Stephanie Fiore, une étudiante en génie aérospatial à l’Université Concordia qui se concentre sur l’aérodynamisme et la propulsion, a trouvé la journée vraiment intéressante.

« J’ai eu la chance de discuter avec Dominique (Bergeron), une pilote dont le parcours professionnel est celui que j’envisage de suivre. »

Originaire d’Italie, Stephanie a fait remarquer que Dominique a été ingénieure avant de devenir pilote et qu’elle-même a un cheminement similaire, car elle étudie en ingénierie, tout en suivant des cours en vue d’obtenir une licence de pilote privée.

Stephanie a apprécié de pouvoir rencontrer beaucoup de femmes qui travaillent dans l’industrie à Air Canada.

« Tout le monde est vraiment accessible, et je trouve cela très intéressant que l’entreprise ait organisé cet événement pour promouvoir la place des femmes dans l’aviation. »

D’origine grecque, Christina-Maria Katsari est actuellement candidate au doctorat en ingénierie des matières à l’Université McGill.

« J’aime le domaine de l’aérospatiale en général et je me suis dit que ce serait bien de me joindre à la plus importante société aérienne du Canada. »

Elle a particulièrement aimé sa conversation avec la pilote dans le poste de pilotage du 737 MAX 8 de Boeing.

« Je n’avais jamais parlé à un pilote d’avion commercial et j’ai eu la chance de discuter avec elle des différences qui existent entre le Canada et d’autres pays dans ce métier. »

Christina-Maria a précisé qu’elle aimerait travailler plus tard dans le domaine de l’analyse des défaillances. « En cas de problème de réacteur, j’aimerais être capable de trouver une solution. »

Pour plus d’information, écrivez ywia@aircanada.ca